Dessus un ciel bleu, d'une couche indigo se présente le voile, un voile au vent, le vent dans les voiles au-delà d'une brise où le fil viendra tisser lui-même ce cordon, ce cordon des trois lumières qui doit apporter à cette terre ce grand poumon du respire, ce grand poumon d'une randonnée où d'un pied l'un après l'autre marchera la grâce du flamant rose.
Là où nous ne pouvons plus marcher nous allons devoir voler de nos propres ailes car les myriades de myriades des anges dans ce ciel qui soutiennent tout ces nuages, nous allons apporter ensemble à cette planète Terre une grande respiration, une pureté de l'azur ou notre azurance montrera le bon pied qui flottera bien au-dessus des eaux, bien au-dessus de ces montagnes, une légèreté du silence parfait où seul le bruit du vent touchera nos tympans.
Où le cri de la mouette et du goéland portera cet espoir, tout se prépare, tout se créer, à nous de faire nos devoirs et une petite fée se placera dans ses pieds, portera ce qu'Héraclès a toujours voulu porter, le pied du messager qui sait entendre la voix des sirènes.
Et de ce vent qui soufflera ici-bas, de chaque tornade en ce couloir humain, nous n'en verrons que la poussière de là-haut car une tâche plus haute est apportée où les ailes doivent nous porter et non point se briser.
Ces ailes accrochées en notre cœur portera notre bonheur afin que ce grand respire se place et que toute pollution atmosphérique ne cache point notre sphérique parfait de la pensée en ces cordons Lumière, ces trois cordons au-delà de ce voile.
Soyez cette ballerine aux ailes de satin et de soie, brodées de diamants et garnies de perleries, soyez cette petite fée de générosité et de gaieté car vous l'êtes et ce poumon droit de Terra qui attend ce respire qui le recevra.
Les océans ne vous appartiennent pas, ces montagnes sont vos paysages.
Mais c'est du ciel dont nous parlons à présent, d'un domaine où les Dragons voyagent, d'un domaine où les aigles sont rois, d'un domaine où le rugissement d'ASLAM porte une voix d'espoir et de magie car viendront du ciel un jour toutes ces lumières qu'il faudra peut-être allumer ou éteindre pour que tout se place un jour.
Soufflons, soufflons sur ces brises du passé, sur ces noirceurs en ces nuages gris qui ne sont qu'illusions lorsque le vent se lève, quand les larmes sont tombées telle une pluie dans l'océan le soleil peut se montrer et ne reste que le ciel de ce bleu pur et le vent de ce grand respire.
Au centre de ce ciel il existe une pierre, une pierre du zaphir qui émane d'un vaisseau, qui émane des vaisseaux et qui croise et qui décroise et qui recroise et qui tisse une trame de notre âme, tout de fil doré en ces corps de chair qui nous montre la beauté de ces énergies bien connectées.
Il faut danser.
Il faut danser maintenant, ne plus penser, ne plus marcher, danser, voler, au gré du vent, avant, droit devant et le corps suivra, et le cœur aimera toute cette légèreté de ce vent nouveau, ce vent, que nous avons, le pouvoir de souffler.
Et de ce gong et de ce bol il n'est point l'heure d'en jouer où seules les plumes ont le droit soufflons et soufflons sur les plumes de cet oreiller, cet oreiller où nous nous sommes trop reposés et laissons les plumes se recoller sur nos ailes bien-aimées.
Car un jour au-delà de l'espace et au-delà du temps nous pourrons accompagner ces vaisseaux de l'espace notre corps lui-même sera un gigantesque vaisseau de cristal et de lumière, un gigantesque vaisseau dynamique où chaque cristals se déplacera connecté par ces fils de lumière avec le pouvoir de se déplacer dans le temps et dans la probabilité de l'instant présent, de grands vaisseaux magiques qui nous attendent.
Une technologie qui a conçu autrefois ces crânes de cristal.
Et qui grâce à nos pensées travaille une couche d'ozone.
Un cercle parfait, un mouvement circulaire car le cercle est le mouvement de la respiration, c'est le mouvement de l'univers, c'est le mouvement de la certitude, c'est le mouvement qui tourne autour de la perfection, c'est le mouvement qui complémente le un, mais le point de point être sans le cercle, l'oiseau ne peut point voler sans le vent, sans l'oxygène.
Nous sentons cette conscience, une conscience qui se connecte, trois subconscients qui se connectent, qui dansent ensemble, pour qu'une grande magie se prépare enfin, enfin cette grande magie, point d'inquiétude en cela car l'infini du temps est bel et bien la et nous répéterons autant de fois que nécessaire cette réalité, autant de fois que nécessaire mais dans l'instant présent nous réussissons, nous avons réussi le présent, il est là quelque part ce présent réussi, il est déjà là, quelque part.
Et l'on m'a ordonné de retirer cette épine du pied car cette magie doit arriver, elle doit se montrer car ces jambières de lumière.
Une altitude pourra être gagnée, une altitude qui n'a point besoin d'attitude.
Une assemblée vient de se présenter, une assemblée, nous sommes honorés de se courber, une assemblée où vous êtes regardée, et où vous êtes remerciée.
c'est en volant au-dessus des nuages que nous ne serons pas bousculés par les tempêtes qui s'en viendront et l'on pourra conserver cette respiration sereine, les barricades sont tombées, il n'y a plus de barrière, il n'y a plus de limites, toutes les directions sont ouvertes, il n'y a plus de maladies, il n'y a que le corps du zaphir, que le grand zéphyr fera jouer dans sa musique, une musique de Dieu, une musique des dieux et des Déesses, une musique qui nous fera tous chanter et danser dans un ciel étoilé de myriades de couleurs, dans une Voie lactée qui nous fera voyager sur des milliards et des milliards de parsecs.
Ainsi l'esprit cosmique sait où il doit venir.
Et nous garderons en notre cœur les deux M qui nous apprennent ce je t'aime, ce je m'aime, car c'est l'amour pour tout ce que l'on est, pour tout ce qu'ils sont, pour tout ce qu'ils seront, pour tout ce que nous serons qui donne la réponse.